mercredi 17 septembre 2014

Carnets très intimes 2


Je cherche ma dynamo intérieure.
(…)

Je suis content, je réussis, peu à peu, à « délester » des choses.
(…)

Et si je pouvais exprimer ma colère et ma douleur en dessinant?
(…)


(Autre journée)

Je crois que les Pages du matin me font réellement du bien intérieurement. Je semble écraser, éliminer les angoisses et tout le reste. Comme si ça nettoyait en grand à chaque fois.
(…)

L'important, c'est de continuer à écrire (peu importe la fréquence). Je sais qu'à un moment donné, je vais finir par attraper un rythme plus régulier et plus fréquent.

(…)

J'ai peur, j'ai tellement peur. Comme si je ne pourrais... Comme si tout ce qui peut m'arriver de bon cache un grand malheur. Comme s'il ne fallait pas que je bouge, parle, que je fasse quoi que ce soit sinon, ça va exploser. Sinon le malheur apparaîtra. Il ne faut pas que je lui dise (au malheur) que j'ai trouvé du positif et du bonheur. Comme si un meurtre serait commis, sinon. Et c'est fort, c'est tellement fort, c'est incroyable. Encore une fois, c'est super paralysant.

(…)

Qu'est-ce que je fais de ce petit génie créatif que j'ai en moi? C'est sûr qu'il ne mourra pas. Je me demande pourquoi il est si fort… (…) C'est tellement étrange... On dirait qu'il est là pour me permettre de sortir la boucane.

(…)

Je ne crée pas parce que je suis en état de crise et je suis en état de crise parce que je ne crée pas…





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