dimanche 10 août 2014

Ceci, cela 5

Le jour où j'ai pris le train pour quitter ma petite ville pour aller étudier, il s’est produit en moi un déchirement immense entre la liberté de découvrir le monde et le bien-être, l'amour que j'éprouvais dans ma ville natale avec ma famille et mes amis. Une tristesse inouïe qui m'a donné une sensation de déracinement intense qui perdure encore aujourd'hui. 

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Lorsque mon père est mort, j'ai éprouvé un immense soulagement.
Ensuite, les regrets et la culpabilité me sont tombés dessus comme une tonne de brique.

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Sur ma pierre tombale: Il a été aimé…


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Je suis surpris de ma perspicacité à deviner, sentir les autres.


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J'ai constamment besoin de prouver que j'ai le droit de dire, de penser, d'écrire.


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Ne pas oublier que les autres aussi vivent un combat, qu'ils sont des guerriers qui cherchent le repos.

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Ma concentration: Je suis là, je ne suis pas là, je suis là, etc.


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Ne plus avoir peur de dire:
"Je veux terminer ce que je te disais."
"Donne-moi encore une minute ou deux."
"Attends que je finisse mon idée."

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L'escalier se construit de bas en haut, mais il se balaie de haut en bas.













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